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La méthode des divisions successives pour enfin oser passer à l’action avec les filles

Par Richard

Célibataire ? Découvrez en vidéo le secret pour séduire les femmes qui vous plaisent, coucher avec et vous mettre en couple.

— Salut tout le monde !

Je vous retrouve dans une nouvelle vidéo en compagnie de Mathieu Venisse.

— Salut à tous !

— Du blog « penser et agir ».

— Exactement !

— Donc, merci Mathieu d’être ici sur ma terrasse.

— Merci à toi Richard de m’accueillir chez toi. Et puis, merci à tous ceux qui regardent cette interview. Donc, tous les lecteurs de « Pickup Alliance », salut à tous !

— Donc, aujourd’hui, j’ai invité Mathieu pour lui poser des questions sur le passage à l’action. Parce que vous êtes nombreux sur mon blog à me poser des questions toujours en rapport aux passages à l’action. Comment aborder une fille ? Ou comment monter des projets qui vous tiennent à cœur ? Donc, voilà Mathieu. Aujourd’hui, j’aimerai avoir tes conseilles vis-à-vis de cela.

— OK ! Super ! Cela tombe bien parce que « penser et agir », c’est un blog qui est spécialisé dans le passage à l’action sur différents domaines. Justement, comme tu l’as dit, aussi bien les projets personnels. Moi, dans la dénomination des mots que j’emploie, je vois tout sous la forme d’un projet. Donc, quand je dis « projet personnel », notamment, aborder une fille ou trouver une copine, qui est la thématique de ton site. Ou de trouver des filles justes comme cela. Cela reste pour moi des différents types de projets. Aussi important et qu’on va traiter de la même manière qu’un projet professionnel ou une carrière.

— Oui, je vois !

— Pour moi, c’est la même chose. Même un projet sportif, si l’on va se mettre au sport, cela va être exactement pareil. On va utiliser tout le temps les mêmes leviers. Et ce qui est important de constater, c’est que la majorité des gens, 90 à 95 % des gens ont des problèmes pour passer à l’action.

Déjà, si vous avez un problème pour passer à l’action, ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas seul. La bonne nouvelle, c’est que vous n’êtes pas tout seul, que tout le monde est pareil. Et que même ceux qui passent à l’action, même moi qui arrive aujourd’hui pour répondre à des questions sur le passage à l’action ; qui me suit spécialisé là-dedans. Et bien avant, je n’arrivais pas à passer à l’action.  Pourquoi ? Parce que les sociétés dans lesquels on vit aujourd’hui nous tracent la route.

On fait des études, on fait un peu ce que veulent les parents et tout cela. On nous trace la route et on a du mal à changer des codes, à sortir un peu des sentiers battus. Du coup, il y a beaucoup de blocage. Et c’est là où le développement personnel ou les coachs – un peu ce que je fais et ce que tu fais Richard – les coachs arrivent pour justement, en fonction du travail qu’ils ont effectué sur eux-mêmes, donner des conseils qui fonctionnent vraiment. Mais non pas des trucs un peu pourris qu’on peut lire un peu partout. Et qu’on n’arrive pas à appliquer.

Donc, aujourd’hui, dans cette interview, je vais essayer de vous donner des conseils ultras concrets pour que vous puissiez passer à l’action. Et comme je vous l’ai dit, c’est quel que soit le type de projet. Parce que ce sont des raisonnements, des processus qu’on va essayer d’intérioriser, d’avoir à l’intérieur de soi. Et quand on a un problème, on va repenser aux concepts.

Ce sont des concepts très simples, vraiment très très simples. On va se les remettre en tête et on va dire : « OK ! Je n’arrive pas à passer à l’action, mais je me rappelle que cela et cela, donc, je passe à l’action ».

Premier concept. C’est un concept qui a été développé par Anthony Robbins. Donc, ce n’est pas moi qui l’ai inventé, je le dis. Puisqu’il y a pas mal de coachs qui disent tout le temps qu’ils ont tout inventé. Non, je cite mes sources, donc, c’est Anthony Robbins. Il en parle très bien dans son livre « pouvoir illimité ». Je ne sais pas si tu l’as lue.

— Ouais !

— « Pouvoir illimité » qui est un livre que je conseille à toutes les personnes…

— … Assez costaud, il faut le relire et encore le relire.

— Il y a aussi la version limitée qui s’appelle : « les 11 vœux du succès ». C’est la version qui fait 100 pages de « pouvoir illimité » qui fait 400 pages. Donc, voilà. Et donc, dans ces 500 pages-là, à un moment, il parle du cercle du succès. Et qu’est-ce que c’est que le cercle du succès ? Et bien, c’est ce qui va régir le passage à l’action, c’est un ensemble de quatre concepts.

Premier concept très important, c’est ce qu’il appelle le potentiel. La définition exacte du potentiel, c’est : la perception subjective de ses capacités à effectuer quelque chose à un instant donné. C’est un peu compliqué.

— C’est un programme !

— Mais le truc, c’est que ce qui est bien avec ces concepts-là, c’est que vous apprenez. Vous comprenez avant et après, vous apprenez la phrase. Vous dites : « OK, mon potentiel, c’est ma perception subjective à effectuer une activité à un moment donné. » Qu’est ce que cela veut dire ? Perception, cela veut dire que, qui dit « perception » dit : vous avez le réel ici, vous avez votre perception et vous avez des biais d’interprétation. C’est-à-dire en fonction de vos expériences passées, de votre façon de percevoir le monde, de vos croyances.

— Les filtres en PNL.

— Les filtres en PNL, oui c’est cela. C’est les filtres en PNL. C’est les filtres aussi, en hypnose. C’est la même chose. Ce qu’on appelle « les croyances » en développement personnel. Pas croyance au sens de la foi. Croyance au sens de ce que vous pensez comme bon ou mauvais, vrai ou faux. Puisqu’on vous a inculqué dans votre éducation et dans votre environnement social. Cela, c’est votre perception du monde réel.

Donc, votre potentiel, c’est la perception subjective. C’est à dire par rapport à ces filtres de perception, de votre capacité à effectuer quelque chose. « Capacité », cela veut dire : « je peux faire telle chose à 30 %, 100 %, 50 %, 30 %, 20 % à un instant donné. C’est-à-dire : à un moment donné. Donc, si on raccorde, là, cela va être la définition. Le concept à retenir, le premier des quatre concepts.

OK ! Si j’avais peur d’aborder une fille dans la rue. Quelle est ma perception subjective de mes capacités à aborder une fille dans la rue aujourd’hui ? Et bien, mon éducation, ma mère, mon père, mon grand-père, ma famille, comment est-ce qu’ils considèrent les gens qui abordent les gens dans la rue ?

Quelle est ma religion ? Parce que la religion a aussi un impact énorme sur les croyances. Est-ce que je suis religieux ? Est-ce que je ne le suis pas ? Quelle a été mon éducation ? Quel est mon cercle d’amis ? Dans quel milieu j’ai évolué pour mes études ? Est-ce que c’était un milieu masculin ? Comme c’était mon cas vu que j’étais à la base ingénieur.

Il y a des mecs, plus difficile pour parler de filles. Est-ce qu’à l’inverse, je suis dans un lieu très féminin ? Je ne sais pas, je suis des études d’infirmiers par exemple. Dans ce cas-là, ces gars-là vont avoir beaucoup plus de facilité à communiquer avec les filles. Tout simplement parce que leurs environnements les conditionnent à cela.

Donc, quels sont ces aspects-là ? Et en fonction de cela, comprendre pourquoi est-ce qu’aujourd’hui, on a ce potentiel-là ? C’est-à-dire cette perception subjective. Et puis, on va essayer d’estimer. On va dire : « OK ! Moi je suis une bille. Cela fait des années que j’essaie d’aborder des filles. Je n’ai jamais réussi, je suis à zéro pour cent ».

— OK !

— OK ! Je ne l’ai jamais fait. Je suis sorti dans la rue, j’ai marché un peu et je n’ai pas réussi. Bon, aborder une fille dans la rue, déjà, cela commence par aller dans la rue. Donc, j’ai réussi à 20 %. Un petit peu.

— On est un peu sorti de sa zone de confort finalement.

— Eh oui, parce que c’est dans la tête tout cela. Quand on sort pour aller acheter une baguette de pain, à 100 % on y va. Par contre, quand on sort pour aller aborder une fille, on va revivre une partie du livre de Richard pour voir comment il faut faire. On va regarder une vidéo sur YouTube. On va se dire : « est-ce que j’y vais vraiment ? Je ne suis pas en forme » on va manger du sucre. Voilà, on se monte la tête donc, on est moins prêt, 20 %.

Est-ce que j’ai déjà parlé à une fille que je ne connais pas sans avoir de stratégie de séduction derrière. Par exemple, est-ce que j’ai demandé l’heure dans la rue ? 40%. Et on va estimer son potentiel comme cela. Alors, pour tous ceux qui ne sont jamais passés à l’action. C’est-à-dire qui ont un potentiel de zéro. Ils ne sont jamais allés aborder une fille dans la rue. Et même, on va dire qu’ils sont sortis, mais n’ont pas parlé à une fille. Qu’ils ne sont jamais allés aborder une fille dans la rue avec la volonté d’obtenir les numéros déjà. Ou d’obtenir une réponse, un sourire.

Déjà, votre potentiel est à 100 % faux. C’est simple, il est basé sur ce qu’on a dit, c’est une perception subjective. Donc, vos croyances, vos expériences passées, votre environnement familial, social, professionnel, etc. Et c’est à 100 % faux. Donc, retenez cela, votre potentiel, tant que vous n’êtes pas passé à l’action est 100 % faux.

Deuxième concept, vous l’avez sans doute deviné. C’est le passage à l’action. Alors, on va voir, tout à l’heure, je vous expliquerai une méthode pour trouver de l’action vraiment. Qui fait que vous n’alliez pas sortir dans la rue pour rien. Parce que moi, je suis passé par là. J’étais extrêmement timide.

— Je sais !

— Et notamment, pour aborder dans la rue, j’ai mis quatre heures de retours. J’étais à Nantes à l’époque. Déjà, à Nantes, il n’y a pas beaucoup de filles non plus. Il y en a, mais ce n’est pas pareil qu’à Paris. Je sortais, non, ce n’est pas pour avoir un numéro. Je sortais quatre heures et je n’abordais personne. Au début, c’est cela.

— Au moins, tu sortais.

— Je sortais, mais mon potentiel était toujours faux

— Et finalement, tu es passé à l’action ?

— Je passais et voilà. Ce que je disais tout à l’heure : 20 % quoi. 20 % à 30 %, j’y allais. Mais j’ai eu toujours cette peur. Et je n’arrivais pas à m’en défaire. J’avais peur de passer le premier pas. Cela, on va l’expliquer comment passer le premier pas. Mais déjà, je présente les quatre concepts du cercle qu’on va creuser un peu.

— Cela marche !

— Donc, l’action, c’est super simple. L’action, c’est une chose. Vous faites ce pour quoi vous êtes sorti. Donc, votre objectif, c’est pour faire ce pour faire ce pourquoi on est sorti. Cela veut dire qu’il faut savoir ce qu’on veut faire. Savoir ce qu’on veut faire, c’est mettre un critère de mesurabilité et une limite temporelle. Très simple, pour aborder des filles dans la rue. On va toujours prendre cet exemple-là. Comme cela, on va pouvoir faire du concret.

Je veux aborder cinq filles en une heure par exemple. Voilà, un objectif au début, c’est exactement pareil.

— Donc, c’est mesurable ?

— C’est mesurable et temporellement définit. Si ce n’est pas temporellement défini, vous allez sortir, vous allez mettre quatre heures. « J’ai le temps, j’ai le temps… » Et les filles vont rentrer du boulot, elles vont aller manger, elles vont aller se coucher. Et que la quand vous serez rentré chez vous, vous direz : « oui, mais si elle s’est couchée, ce n’est quand même pas de ma faute si j’ai raté. C’est la faute du soleil. »

— Non !

— Donc, on met une heure, on définit. Donc, par exemple une heure. C’est bien deux heures pour les plus courageux. Et puis quatre heures pour les mecs qui en veulent. Et après, le nombre, ce n’est pas grave. Au début, c’est la même chose que pour le potentiel, le nombre est toujours faux : je vais en aborder cinq, je vais en aborder deux, je vais en aborder 10, je vais en aborder 20, cela ne change rien. Au début, on ne sait pas.

— Donc, pour que l’objectif aussi soit atteignable un petit peu. Si on part de zéro, on ne va pas aborder 100 filles. Enfin, c’est quand même absurde.

— Oui, bien sûr. Mais je pense qu’il faut être raisonnable. Que ce soit atteignable et pour que ce soit dans votre écologie. Dans l’écologie, cela veut dire : que vous puissiez l’accepter.  Que si quand vous écrivez votre objectif, vous êtes en train de suer et vous vous dites : « je n’y arriverais jamais ». Déjà, c’est que vous pouvez vous dire qu’il y a un problème.

Et je sais que c’est cela. Quand on a des problèmes pour aborder des problèmes de timidité. Parce que je le répète : on ne le dirait pas comme cela. Mais vous remontez dix ans en arrière. Moi, je ne pouvais pas parler à une fille ; même sans parler de séduction.

Donc, vraiment, je vois ce qu’endurent les gens qui regardent ce type de vidéo. Et voilà. Par contre, tous les conseils que je donne, cela s’applique à tous les projets. En professionnel, le mesurable, le temporel, c’est ce qu’on appelle les objectifs smart.

Donc, on fait cela, et on se dit : « OK, cinq filles, on y va ». Donc, le passage à l’action, c’est aller dans la rue pendant une heure. Et ensuite, ce qui va se passer, c’est le troisième concept : « le résultat ». Donc, le potentiel, on a bien compris ce que c’était. Les actions, le résultat.

Le résultat a deux possibilités : j’ai réussi ou je n’ai pas réussi. Ce n’est pas tout à fait binaire, parce que c’est : « je n’ai pas réussi ». Donc, zéro, je vais avoir des zéros filles en une heure. Si vous n’avez pas fait une heure, vous n’êtes pas passé à l’action, déjà, vous avez un problème. Donc, on redéfinit l’objectif à une demi-heure, un quart d’heure, une minute. Il faut y arriver. Une fois que vous avez réussi le temps. Déjà, vous avez passé à l’action. Résultat : zéro, j’ai raté. J’ai fait, du coup, si on avait dit cinq, cela fait 40 % à peu près.

— Oui !

— Et si on a fait quatre, cela fait 80 %. Si on a fait cinq, cela fait 100 % de l’objectif. Et vous pouvez vous dire : « la prochaine fois, je vais faire 10 » et on y va ! Si c’est possible. Après, cela dépend de vos critères de filtrage de filles.

— Oui !

— C’est vous qui voyez !

Donc, vous avez les résultats. Si vous avez un résultat négatif, que vous avez fait zéro. La clef, c’est ce que je vais vous présenter juste après. Ce qui s’appelle les divisions successives pour trouver une action plus simple. Tout cela, on va en parler après.

Et si vous avez réussi à 30 %, vous allez avoir ce qui s’appelle : « une modification de vos croyances », le quatrième concept. Les croyances, on l’a vu un petit peu tout à l’heure dans le potentiel. C’est directement en lien avec le potentiel. C’est ce qui conditionne votre perception subjective de votre capacité à effectuer quelque chose à un instant donné. Cela, c’est vos croyances.

Et ce qui est génial avec cela, parce que c’est un cercle vertueux. C’est qu’en passant à l’action, en mesurant les résultats, vous allez modifier vos croyances et vous allez influencer, modifier votre potentiel.

— Se créer une nouvelle réalité finalement, c’est un peu…

— Vous allez… Ou alors…

— Moi, je pense que…

— Si ! La création de réalités, c’est spirituel et philosophique. Je suis passionné de cela aussi.

— Après, les croyances aussi te créent une réalité finalement.

— Oui, c’est la…

— Donc, si tu modifies ta croyance, tu modifies…

— C’est le début de la base de la création de réalités. C’est à peu près à la visualisation, l’hypnose. Les modifications de croyances… La méditation, tout cela va beaucoup plus loin en face de la réalité. Mais la base de la base, c’est déjà, d’agir sur ses croyances.

Vous avez l’erreur que vous faites tous, et que font toutes les personnes qui veulent réussir quelque chose. C’est d’agir sur le visible. C’est à dire : c’est des gens qui se mettent un coup de pied au cul. Ils vont dans la rue. C’est Einstein qui disait : « le propre de la folie, c’est d’espérer un résultat différent en effectuant tout le temps la même chose ».

— Ouais, c’est cela !

— Et 90 % à 95 % des gens qui veulent avoir des filles, ils vont faire tout le temps, la même chose. Ils vont mettre les mêmes vêtements, le même parfum. Ils vont regarder la même vidéo de YouTube. Ils vont dire les mêmes phrases d’auto motivation. Ils vont sortir dans la rue, ils vont rentrer chez eux, encore plus déprimés que jamais. Qu’est-ce qu’il se passe ? Zéro de résultat. Ils n’ont pas la méthode des divisions successives que je vais partager après. Donc, ils ne vont pas changer les hypothèses de départ. Ils n’y arriveront jamais.

— OK !

— Donc, quand c’est positif, vous modifiez vos croyances et vous modifiez du coup, votre potentiel. Et dans ce cas-là, cela c’est la clef, vous  pouvez mettre la barre un petit peu plus haute. Pareil pour tous les projets. Pas que pour aborder des filles dans la rue. Donc, tout pour tout. Vous mettez la barre un petit peu plus haute. Soit pour du sport. Pour tout, vous augmentez vos objectifs.

— D’accord ! OK !

— Donc, soit vous augmentez le nombre de filles, soit vous réduisez le temps passé. Si vous ne voulez pas passer une heure par jour et que vous vous dites une demi-heure. Et après, la clef, je pense que tu en parles très bien. C’est de devenir naturel. C’est-à-dire de faire cela dans la vie de tous les jours.

— On augmente un petit peu notre zone dès que possible, finalement.

— C’est cela. Au début, cela devient une contrainte, un exercice. On s’oblige à faire quelque chose pour progresser. Et après, cela devient naturel. Et cela devient dans notre environnement. Et on va aller parler à une fille naturellement.

— Et notre cerveau se dit au final : « Eh bien, oui ! C’est possible ». Donc, je peux encore plus, et vue qu’on réalise plus, on peut toujours plus…

— Il ne se dit même pas : « eh bien, oui, c’est possible », il se dit : « eh bien oui, je l’ai déjà fait ». Je l’ai fait tout à l’heure. Je l’ai à 30 % de temps réussite. Donc, cela devient possible. Une fois qu’on la fait, c’est intégré dans ce qui s’appelle : « des habitudes de vie ». Quand c’est du naturel, en fait, c’est qu’on a pris une habitude de vie.

Aborder des filles peut être une habitude de vie. Quand on n’a plus aucune adrénaline et qu’on se dit : « bon, voilà ! Elle est mignonne, je vais la voir. Je fais salut, je m’appelle Mathieu, j’aimerai bien te retrouver autour d’un café. Est-ce qu’on échange nos numéros ? » Quand on le fait naturellement, ce qui s’appelle aussi la congruence et l’alignement.

C’est-à-dire que vous n’allez pas être comme cela. On est souriant, on a une bonne gestion de soi, ou bien habillée parce qu’on aime ses vêtements. La fille n’aura jamais de réaction : « encore un blaireau qui vient m’aborder ». C’est cela qui est dingue. La congruence et l’alignement font que vous ne serez jamais rejeté. Mais pour atteindre cette congruence et cet alignement, il faut se faire rejeter. C’est là où on fait tout ce processus de passage à l’action.

Alors maintenant, du coup, ce que je disais tout à l’heure. J’ai un peu enquêté sur la suite de ce que je voulais dire. Pour les gens qui se disent : « Ouais, c’est super, Mathieu, ce que tu nous dis, c’est intéressant, c’est un beau livre à lire. » Par contre, j’ai entendu cela 1.000 fois : « moi, je n’y arrive pas. » Les gens qui ont un peu une phobie ou qui se disent…

— Qu’est ce qu’on fait quand on n’y arrive pas ?

— « J’ai beau entendre ce que tu es en train de me dire, Mathieu. Bordel, je n’arrive pas à aller dans la rue aborder une fille. Pourtant, j’ai bien compris ce que tu m’as dit ».  Donc, ce qui se passe, c’est que c’est le passage action. Du coup, vous êtes potentiel, vous êtes nul : zéro. Ce n’est pas que vous êtes nul. Vous avez la perception subjective de vos capacités à effectuer quelque chose : nul. C’était mon cas, il y a dix ans. Mon cas, j’étais nul à chier.

— Et tu l’es encore ?

— Et bien, je n’espère pas parce qu’aujourd’hui c’est mon métier. Moi ce n’est pas la séduction, c’est Richard pour la séduction. Moi, c’est vraiment du développement personnel. Pour projet pro, projet perso que ce soit sportif, professionnel. Et donc, cela rentre aussi là-dedans.

— Bien sûr !

— Donc, comment est-ce qu’on fait ? On se concentre sur l’action. Qu’est-ce que c’est que l’action ? C’est faire ce qu’on a décidé de faire.

— Voilà, puisqu’on a dit de sortir une heure pour aborder cinq filles.

— Si cela, c’est trop compliqué, dans ce cas-là, on va diminuer. On va diviser. Ce que j’appelle les divisions. Connaître les objectifs et diviser. Comment est-ce que je vais faire pour aborder ? On va vraiment prendre cet exemple-là.

— En sous-objectifs, c’est cela que tu veux dire ?

— Oui, ce n’est même pas des sous-objectifs, parce que c’est vraiment… Cela peut s’apparenter à des sous-objectifs. Mais là, c’est vraiment très fin. Parce que pour moi, aborder cinq filles en une heure, ce n’est même pas un objectif. C’est une tâche, puisque cela dure une heure. L’objectif, ce serait un objectif à court terme. C’est, je ne sais pas, en séduction, coucher avec trois filles par mois par exemple. Ou plus. Et donc, cela sera un sous-objectif. Un objectif à court terme.

Un objectif à moyen terme, ce serait d’être à l’aise pour aborder des filles dans la rue, ou trouver une copine par exemple. Oui, cela, pour moi, c’est plus du long terme. Parce que plus on aborde, plus on a du succès. Plus on se rend compte qu’on devient exigeant. Plus on se connaît soi-même, qu’on se donne l’idée du développement personnel.

— Ouais !

— Moi, c’est vraiment du long terme pour moi, la vraie femme de sa vie. C’est la mission de tout le monde. Donc, des étapes on va dire. Donc, qu’est-ce que je vais faire ?

Premièrement, je vais essayer d’aborder, peut-être que cinq c’était trop. Donc, je vais faire deux.  Deux en une heure. Et là, la personne va dire : « Mathieu. Ce n’est pas cinq, ce n’est pas deux, cela ne marche pas. Une ! C’est Mathieu, ce n’est pas cinq, ce n’est pas deux, ce n’est pas une, cela ne marche pas. Je te dis : cela ne marche pas. »

— Arrête tout, c’est bon…

— OK ! Donc là, pas de panique, on est tous passés par là. Vous vous dites : « qu’est-ce que je fais exactement ? » Donc, vous décomposez. Quand vous voyez la fille dans la rue, qu’est-ce qu’il se passe ? Est-ce que mon rythme cardiaque accélère ? Est-ce que ma respiration s’emballe ? Est-ce que je commence à suer ? Comment je me tiens ? Est-ce que je suis comme cela ? Vous analysez au niveau… Est-ce que vous déglutissez ? Tout est au niveau des cinq sens. Qu’est-ce que vous voyez ?

— D’accord !

— Est-ce que cela se floute ? Est-ce que c’est plus rapide ? Et il y a des gens qui vont même faire des malaises, pour les phobies. On va loin là. Mais donc, au niveau kinesthésique, visuel, auditif, gustatif, olfactif, ce que vous sentez… Tout ce qui vous parle…

— En fait, d’avoir une vision de soi de l’intérieur et de l’extérieur. Donc, se voir un petit peu des deux côtés.

— Là, on est sur les ressentis.

— OK !

— Donc, vous vous dites cela et vous vous dites : « OK ». Quel est le déclencheur qui provoque cela. Généralement, quand on aborde une fille, c’est qu’on est en train de se dire à l’intérieur, en dialogue interne, la phrase qu’on va dire à la fille.

— C’est cela.

— Par exemple : salut !

— C’est ce que j’explique derrière, sur mon blog, un petit peu, mais…

— Donc, le dialogue interne : vous êtes en train de vous dire ce que vous allez dire. Et cette phrase-là, votre cerveau ne fait pas la différence entre l’imaginaire et le réel. Du coup, le fait de vous le dire. Et bien, votre potentiel, ne l’oubliez pas, il est à zéro. Paf ! Donc, ce qu’il faut, c’est une astuce. On va un peu entuber le cerveau. Vous allez changer la phrase. Et au début, si vous n’arrivez pas à dire : « salut ! Je m’appelle Mathieu, je trouve que tu as beaucoup de classe. Je t’ai trouvé très souriante ».

Cela, c’est une clef : « je t’ai trouvé très souriante » ? On ne vous dira jamais que vous êtes un pervers. Ce n’est pas ceux qui disent : « ah ouais, tu es charmante… » Et bien, vous enlevez cela. Vous oubliez toutes les phrases que Richard vous a…- Pardon ! Je confonds les prénoms -. Et vous allez commencer par faire un truc sur lequel vous êtes à l’aise. Par exemple : demander l’heure.

— D’accord ! Tout simple.

— « Salut ! Excuse-moi, est-ce que tu auras l’heure ? » Si cela, c’est encore trop compliqué, changez le deuxième aspect de la chose. Vous prenez une fille qui ne vous intéresse plus. Vous allez voir une grand-mère, une maman, un homme. Vous voyez, vous conditionnez votre esprit, votre cerveau petit à petit, à avancer. Et le plus petit pas que vous allez faire, ce qu’il faut, c’est que clairement, vous réussissiez.

Demander l’heure à un homme, je pense que du coup, c’est à la portée de n’importe quel séducteur. C’est vraiment une étape hyper fine. Moi, pour abattre cette anxiété-là, j’étais allé demander l’heure à des filles qui me plaisaient. C’était l’étape que je trouvais. Mais si c’est trop compliqué pour vous, des filles qui ne vous plaisent pas. Cela baisse, et sinon, encore des hommes. Enfin, des hommes si vous êtes hétéros. Si vous êtes gai, c’est inversé.

Donc, voilà. Cela, c’est vraiment une astuce, c’est une clef. Et vous allez voir que quand vous faites ces divisions-là, vous notez les étapes que vous n’avez pas réussi à faire. Donc, on avait cinq, on avait, trois, on avait deux, on avait un. Ensuite, on avait abordé en demandant l’heure à une fille qui nous plaît. Abordé en demandant l’heure à une fille qui ne nous plaît pas. Aborder l’heure à un homme…

Une fois que vous avez réussi cela, vous passez à l’autre. C’est pour cela que c’est important de les noter, ce que j’appelle un arbre de division successive.

— OK ! D’accord !

— Et donc, vous passez à l’autre palier. L’autre palier, le palier… Et vous allez voir que quand vous allez arriver au palier que vous trouviez impossible à faire. Le fait d’avoir fait les étapes précédentes, divisées à l’intérieur, fait que vous allez y arriver. Et une chose à avoir tout le temps en tête quand on fait cela. C’est une phrase qui est comme une magie, c’est : fait est mieux que parfait.

Quand vous allez aborder, ce ne sera jamais parfait. Quand on le fait, ce n’est jamais parfait. Richard qui est un expert, ce n’est jamais parfait. Il y a des foirages, des trucs où tu te dis : « oh, j’ai raté ce que je faisais là ».

— Je ne fais pas trop cela non plus.

— Non, mais ce que je veux dire, c’est que… C’est ce qui fait côté humain. Si c’était une machine en abordant avec tout exactement comment il faut. La fille, elle va dire : « c’est chelou, le mec » quand il y en a. Tu vois ? Donc, c’est aussi cool un peu de : quand on se foire, c’est rigolo. Il faut être en alignée.

— D’accord !

— Donc, retenez cette phrase-là : « fait est mieux que parfait ». Quand vous allez diviser les petites étapes, quand vous allez passer à l’action. À n’importe quel moment, fait est mieux que parfait.

— OK !

— Et donc, vous regroupez. Et cela, c’est le seuil du passage à l’action avec ce que je rajoute souvent sur ces divisions pour toutes les personnes qui n’arrivent pas à le faire.

— Et si on a vraiment une phobie sociale finalement ?

— Et bien là…

— C’est toujours les mêmes étapes, enfin les mêmes…

— Alors, cela, c’est vraiment pour la phobie sociale qui est… Tu veux dire : si on n’arrive toujours pas ?

— Bon, après, je ne sais pas sur jusqu’à quel niveau on peut descendre ?

— Alors là, si on a vraiment une phobie sociale, mais je ne suis pas un expert de la phobie sociale à ce point-là. Je pense que là, les conseils que je vais donner pour 99 % des gens.

— C’est plus pour les gens qui sont anxieux, stressés vraiment.

— Voilà ! On est sur le côté en dessus, le côté stress. Pour ce qui est phobie sociale, on rentre dans la médecine là. Enfin, les pathologies. C’est une pathologie ou psychologie, je ne sais pas trop. Bon, les gens qui ont des phobies sociales le savent. C’est des gens qui vont être suivis par des psychologues ou psychiatres. Je ne sais avec lequel des deux. Après, pour tous les gens anxieux et stressé, surtout, ne vous dites pas que vous avez des phobies sociales.

— Cela, c’est autre chose…

— Cela, c’est typiquement français. Tous les gens qui ne vont pas bien en ce moment se disent « dépressifs ».

— C’est dingue ! la dépression, ce n’est pas cela.

— Une dépression, ce n’est pas cela. Les gars, si vous vivez une dépression et que vous allez vous diagnostiquer, vous le saurez. Une dépression, c’est quand vous passez, je ne sais pas, 80 % de votre temps éveillé au lit quoi. C’est que vous ne mangez plus ou alors que vous mangez trop, cela dépend des gens. Ce n’est pas cela. Aujourd’hui, la plupart des gens qui vous disent qu’ils sont en dépression, c’est des excuses. C’est des excuses parce que justement, on peut parler de ce que tu appelles en séduction inner game

J’appelle cela dans mon développement personnel : votre identité profonde. Donc, ce qui se passe pour les gens qui ont des objectifs, que ce soit en termes de séduction, de carrière professionnelle. Là, on peut même dériver sur la carrière professionnelle. C’est de se poser trois questions.

La première question, c’est : pour qui est-ce que je le fais ? Et c’est pareil pour les filles dans la rue. Pour qui est-ce que je suis en train de le faire ? C’est pareil pour les régimes, pour le sport. Les régimes alimentaires, ceux qui veulent perdre du poids. Vous savez, il y a des personnes qui sont un peu grosses, qui sont bien en chair. Pas obèse, mais en chair. Et qui sont super content d’être comme cela. Ils n’ont en rien à foutre.

— Moi, je fais ??? Je fais de la musculation, je fais attention à mon poids, je fais des sèches musculaires. Je prends des régimes nutritionnels en musculation. C’est un autre aspect de l’alimentation de son physique. Mais on va voir que c’est exactement la même chose, ces trucs-là.

Donc, il y a des gens qui sont bien en chair et qui sont contents. Et ils ont en tellement marre qu’on leur dise qu’ils sont gros où qu’ils sont gras qu’ils vont se mettre à faire un régime alimentaire. Ils vont faire des conneries généralement, un régime du con. Tous les trucs qui sont dans Femme Actuelle, toutes les merdes qu’on sert aux femmes. Non, mais c’est vrai. Si vous voulez perdre du poids, ce n’est pas compliqué, c’est de la nutrition, ce n’est pas des régimes pourris, bref.

Et ces personnes-là ne vont jamais y arriver. Pourquoi ? Parce qu’elles n’ont pas validé la première des trois questions que j’ai partagées avec vous aujourd’hui. C’est : « pour qui est-ce que je le fais ?

— Pour qui ?

— Pour qui ? Est-ce que c’est pour moi ?

— Pour les autres ouais !

— Si aujourd’hui, vous avez envie d’aborder des filles dans la rue. Tous les jours, vous vous poussez à le faire, mais que cela ne fonctionne pas. Donc, posez-vous déjà la question : est-ce que vous le faites pour vous ? Ou est-ce que vous le faites parce qu’il y a des gens autour de vous qui sont en train de vous souler parce que vous êtes toujours célibataire, on vous trouve tout seul. Si vous êtes bien dans vos baskets comme cela, là, c’est cool. Cela viendra plus tard. La copine ou le copain viendra plus tard.

Déjà, pour qui est-ce que je le fais ? Et souvent, dans nos sociétés justement, pour reprendre l’exemple des régimes. On se dit toujours : « c’est les gens gros ou gras qui vont… »

— Parce que finalement, c’est pour plaire aux autres ?

— C’est cela. Voilà, c’est cela. Exactement ! Si vous vous plaisez avec vos bourrelets, tant mieux. Et il y a le schéma inverse. Donc, moi, je connais du coup, quand on fait de la musculation, de la diète et qu’on perd du poids. Il y a tous les gens qui vont vous critiquer. Parce que les gens, de toute façon que vous soyez gros ou mince, sec, musclé ou pas ; tout le monde critique tout le temps.

Donc, voilà. Ils critiquent tout le temps, les gens. Et ils vont vous dire : « tu vois, tu as eu peur de perdre huit kilos, mais tu n’es pas gros ». Ils vont passer leurs temps à vous rabaisser avec toutes les raisons du monde pour ne pas perdre votre poids.

Alors que vous, vous avez vos objectifs à vous, en termes de musculation. En terme de musculation, quand je dis huit kilos, cela peut paraître beaucoup. Mais quand tu fais de la musculation, c’est quelque chose de tout à fait normal. Un nombre de poids, cela va varier de huit à dix kilos dans l’année. Bref, on ne va pas parler de musculation ici. Mais c’est pour vous dire que : que vous soyez gros ou que vous essayez de perdre du poids alors que vous n’êtes pas gros, de toute façon, les gens critiquent.

Donc, ce qu’il faut, c’est valider : pour qui vous le faites ? Et ne prenez pas cette question à la légère. Parce que moi, la première fois que j’ai entendu cela. Pareil donc, je regardais des vidéos sur YouTube. Je ne faisais jamais attention aux vidéos de psychologie ou de développement personnel. « Mais pour qui tu le fais ? » Tu disais : « Ouais, c’est pour moi ». Je ne réfléchissais pas vraiment. Je n’étais pas en train de me dire : vraiment pour qui ?

— Est-ce que c’est vraiment pour moi ?

— Est-ce que c’est moi qui ai envie de faire cela ? Et pour savoir si c’est vraiment vous, il y a un exercice que je vais partager avec vous. Un exercice de développement de personnel qui est la deuxième méthode des trois « Q ». Le deuxième, c’est : « pourquoi ?» Pourquoi est-ce que je le fais ? Quel est le but, ce que j’appelle la valeur profonde, la valeur principale.

Personnellement, quand j’ai fait cet exercice-là, je me suis rendu compte que ; que ce soit pour le sport, mon entreprise. Donc, à la base, j’ai suivi des études d’ingénieur pour ceux qui… Parce que vous ne me connaissez pas forcément. Et aujourd’hui, je vis d’un site internet. Et donc, vous imaginez bien, j’ai travaillé quatre ans en tant qu’ingénieur. J’ai fait cinq ans d’études, c’est neuf ans de ma vie : ingénieur.

Quand vous allez dire à vos parents : « j’arrête tout, je monte dans la psychologie de développement de personnel sur internet ». Je n’ai pas de diplôme de psychologie de développement personnel. Dans une famille qui est très attachée aux diplômes, c’est difficile à faire passer. Et donc, j’avais fait ce travail de pourquoi est-ce que je le fais ?

Est-ce que c’est pour montrer aux autres que je peux le faire ou n’importe quoi ? Pour le sport, c’était pareil. Pourquoi est-ce que je veux le faire ? Pour les filles ? C’était pareil, parce que c’était aussi un gros défi pour moi. Donc, je vois très bien ce que vous endurez.

— D’ailleurs, c’est un peu la base de l’ inner game, tout cela ? Cela est un peu le dernier niveau de l’inner game, la spiritualité. Et après voilà, c’est légèrement différent, mais c’est toujours se dire : « pour qui, pourquoi vraiment je fais tout cela ?

— Pourquoi ? Ouais !

— Qu’est-ce qui au fond de moi, fait que je passe à : « j’ai envie de faire cela en fait, finalement. »

— Et moi, ce que je conseille aux gens, c’est de trouver leurs valeurs principales. Et moi, dans mon cas, c’est la liberté. Et je me suis rendu compte que tout ce que je faisais. J’ai donc quitté mon job d’ingénieur, c’était pour avoir une liberté temporelle et géographique en bossant sur internet. Et puis financière aussi par la suite, parce que du coup, quand on est entrepreneur, on n’a pas de limite. Mais du temps à décoller, on est très pauvre.

Et évidemment, si cela marche en tout cas, cela décolle. Et du coup, on peut aussi atteindre la liberté financière. Mais déjà, sur internet, temporel et géographique. Je me suis rendu compte de cela au niveau du travail. Au niveau de la musculation, j’ai trois valeurs à identifier : liberté, dépassement de soi et contribution. Je les connais par cœur. C’est finger-type comme ils disent les Américains. C’est : je sais pourquoi je fais les choses.

La musculation, c’était déjà la liberté de voir mon corps comme je l’entends. Pareil, toujours cette liberté et le dépassement de soi. Si c’est l’un des sports que je crois associer avec le cyclisme, ou le sport d’endurance. Les pires qui existent au niveau mental, c’est les pires. Puisqu’il n’y a pas de technique comme au football ou au volley ou de stratégies d’équipe. Des trucs comme cela où on travaille d’autres aspects.

Vous faites de l’endurance ou de la musculation, cela va être du mental pur quoi. Une fois que vous avez les mouvements, c’est tout le temps du mental. Et comprendre sa génétique, ses nutritions et tout cela. Donc, c’est vraiment du déplacement de soi. Cela, c’est ce qui me plaisait et la liberté, encore une fois, de faire cela. Et pour les filles, c’était la même chose, mais c’était la liberté aussi. C’était absolument… comment dire…

— D’avoir le choix, finalement, de sélectionner celle qui vraiment, te correspond.

— De ne pas me retrouver avec l’ami d’enfance. Celle qu’on m’a présentée du cercle d’ami.

— Les filles par défauts entre guillemets.

— Je m’étais mis une contrainte quand je commençais à séduire et tout cela. Et quand j’arrivais à aborder et tout cela, j’étais dans un débutant intermédiaire. Puisqu’on peut mettre des niveaux dans la séduction, je ne sais pas. Je m’étais mis et je l’ai toujours cet objectif-là, enfin cette règle. C’est que je ne veux pas rencontrer – c’est un peu con, vous allez me dire, mais cela me motive vachement – je ne veux pas rencontrer de filles dans mon cercle d’amis proches.

— D’accord !

— Alors, « proches ». C’est à dire les amis ou les amis d’amis. Je m’interdisais cela. Alors, il faut savoir que les amis d’amis, c’est au niveau logistique, niveau confiance, c’est le plus simple en fait. Moi, je m’étais interdit cela. Comme cela, cela me forçait encore plus à sortir de ma zone de confort pour aller au niveau supérieur. Et rencontrer des gens dans les rues, dans les boîtes, dans les parcs.

Donc, nous voilà pour les valeurs. Donc, posez-vous cette question-là. Et le petit exercice, c’est-à-dire : « pourquoi est-ce que je fais cela ? Vous allez trouver quelque chose. On pourrait trouver un exemple justement, avec « aborder des filles ». Pourquoi est-ce que je fais cela ? Pour me dépasser.

— Pour avoir plus confiance en soi.

— Première réponse. Pourquoi est-ce que je veux avoir plus confiance en moi ? Pour vaincre ma timidité.

— Tu as raison ! Donc, creuser aussi. Parce que parfois on nous dit quelque chose, on se dit oui parce que c’est comme cela. Et au final, c’est quelque chose de plus profond. La vérité se cache vraiment derrière.

— Donc, le pourquoi, c’est ce que j’appelle « les pourquoi en récursifs », en boucle.

— « Pourquoi, pourquoi, pourquoi ? »

— Voilà ! Pourquoi ? Pourquoi est-ce que je veux plus avoir confiance en moi ? Pour être moins timide. Pourquoi est-ce que je veux être moins timide ? Pour pouvoir être plus à l’aise au quotidien. Pourquoi est-ce que je veux être plus à l’aise au quotidien ? Pour être libre dans ma vision de la vie, dans mes activités. Pourquoi est-ce que je veux être libre ?

— Pour être heureux ?

— Eh bien non. Là, pour moi, cela s’arrête là. En fait, c’est fini. Puisque c’est moi. Après, toi, si tu vas plus loin, cela veut dire que dans tes valeurs, tu as le bonheur.

— Ouais !

— Tu vois ? Et peut-être que, si tu veux : « pourquoi est-ce que je veux être heureux ? » Pour ressentir de l’amour de tous les jours. Là, c’est l’acte à l’amour. Tu vois ?

— D’accord ! !

— Pourquoi est-ce que je veux ressentir de l’amour tous les jours ? À un moment, cela va s’arrêter et pour d’autres cela va continuer. Et à un moment, quand cela s’arrête, vous avez trouvé votre pourquoi. Et vous vérifiez que les actions, donc, ce qu’on avait vu dans le cercle de l’action au début. Les objectifs, les actions faites et les résultats que vous obtenez. Vous vérifiez que cela, finement, c’est en accord avec cette valeur que vous avez identifiée.

Et vous pouvez identifier jusqu’à trois valeurs. La première valeur, c’est pour moi, la liberté. Et deux valeurs secondaires, qui sont le dépassement de soi et la contribution. La contribution, cela vient après généralement.

Il y a beaucoup de gens qui veulent contribuer au monde avant d’avoir réglé leurs problèmes. Gros conseil : si vous voulez contribuer au monde, réglez vos problèmes, dépassez-vous, atteignez des objectifs. Et ensuite, aidez les autres. Si vous commencez à aider les autres, c’est comme tous ceux qui n’ont jamais abordé des filles dans la rue, qui vous donne des conseils.

Aux options sport, ce sont des crevettes, les mecs, qui viennent te voir alors que toi tu es en train de pousser comme un fou et ils disent : « Attention à ton dos là, tu ne courbes pas trop ».

Je sais que tu l’as lue dans un livre, mais il faut quand même que tu aies eu quelques résultats pour comprendre que… À certains niveaux, on peut faire… bref. On s’en fou si on parle de la musculation, mais c’est pareil pour tous. La nutrition, le travail. C’est pareil pour tous.

Dernière chose. Donc, je vous disais qu’il y a trois « Q ». Un : « pour qui ? », est-ce que je le fais pour moi ? Le « pourquoi ? »…

— Quelle est ma valeur fondamentale.

— Et le « pour quand ? »

— « Pour quand ? »

— Toujours. On en a parlé aussi dans le cercle du passage à l’action. Pour quand est-ce que je veux atteindre l’objectif ?

— D’accord !

— Et ce « quand », cela peut-être une semaine, un mois, six mois, un an.

— Dans une entreprise, finalement, on a toujours un deadline, finalement pour réaliser un projet.

— Tout ce que je partage là. Tout ce que je fais, cela va être du développement de personnel par l’action sur mon site sur « penser et agir ». Et c’est professionnel, personnel, tout.

— Cela s’adapte à tous.

— Tout fonctionne. Ouais, l’entreprise, elle va faire, généralement, à la vision à cinq ans. Les grosses entreprises, ils vont jusqu’à 25 ans. Donc, cela, c’est très compliqué. Enfin, moi, je suis incapable de faire une vision à 25 ans aujourd’hui. Et on n’a pas de grosses entreprises de toute façon. Par contre, elles font à cinq ans, trois ans, un an. Cela c’est primordial pour les sociétés. Et ensuite, il y a des objectifs à six mois, trois mois, un mois.

— OK !

— Donc, cela fait cinq ans, trois ans, un an, six mois, trois mois, un mois. Et donc, pour vos objectifs perso, c’est bien d’avoir le même schéma que l’entreprise. Déjà, au moins à la vision à un an, la vision à six mois, la vision à trois mois, deux mois, un mois comme cela. Un an, six mois, trois mois, deux mois, un mois.

Déjà, faites cela. C’est vrai en matière de fille, ce n’est pas parce que c’est de la séduction que c’est ridicule ce que je suis en train de dire. Non, si c’est votre objectif du moment, si vous le faites pour vous et que c’est en accord avec votre valeur. C’est dans l’ordre, les questions. Il y a de l’importance.

— Et vous ne mettez pas aussi des objectifs trop élevés, encore une fois. On ne va pas se mettre que sur un mois, je vais coucher avec dix filles alors qu’on n’a jamais couché avec une fille de sa vie.

— Ouais, c’est cela ! L’avantage du « pour quand » aussi… En fait, l’avantage de ces deadlines que j’ai donné : un an, six mois, trois mois, deux mois, un mois. C’est qu’au premier deadline, c’est-à-dire à un mois, vous allez voir votre coefficient d’avancement. On pourrait en parler des heures de ceci. C’est le critère de mesurabilité.

Vous allez mesurer. Vous êtes à combien de pour cent ? Et en fonction de cela, vous allez rééquilibrer tout ce qu’il y avait derrière. Si vous avez atteint trop facilement votre objectif, et bien vous allez plus loin sur ensuite trois mois, six mois, jusqu’au bout d’un an. Et si vous n’avez pas réussi, vous allez moins loin sur ensuite trois mois, sur six mois, sur un an. Et comme cela, vous allez affiner ce qui s’appelle l’amélioration continue chez les ingénieurs.  Le « kaïzen » chez les Japonais ou les Chinois.

— Tu connais la méthode « kaïzen » ?

— Et bien, c’est de l’amélioration continue. C’est le cercle du succès. C’est pareil. On en parle dans plein de trucs différents. Mais ouais, le kaïzen, sur Wikipédia. La page n’est pas mal d’ailleurs, je l’avoue. Pour ceux qui cela intéresse, c’est « kaïzen ». Ce n’est pas Toyota aussi qui a fait un truc comme cela ?

— Je crois, enfin, il y a beaucoup…

— Qui est donc du coup, adapté au monde professionnel. Toyota qui a une méthode, je ne sais plus si c’est « kaïzen » ou encore autre chose. Bref.

Donc, voilà. Vraiment mesurer, affiner toujours, et vous ne pouvez que progresser en fait. Parce que vous allez toujours affiner finement et aller vers l’avant. Donc, voilà pour ce que je peux dire sur le passage à l’action. J’espère que cela te convient avec cela.

— Et bien, nickel en tout cas. Il y a beaucoup d’informations alors n’hésitez pas à remettre la vidéo depuis le début et vous la refaire. À la partager aussi avec vos amis. Cela peut les aider. Et puis moi, je te dis merci en tout cas, pour tous ces conseils.

— Merci à toi Richard. C’est toujours un plaisir de parler de cela. Je sais que je parle un peu vite des fois, c’est la passion qui ressort.

— Il commence à pleuvoir !

— On a fini et il commence à pleuvoir donc c’est parfait.  Moi, cela m’a fait super plaisir de vous parler. J’espère que cela vous a plu.

— Et peut-être à une prochaine finalement.

— Carrément, on pourra faire… Si cela vous intéresse, mettez des pouces en l’air.

— Des pouces en l’air, des commentaires.

— Dites-nous si vous voulez…

— Qu’on parle d’un autre sujet, pour une autre vidéo.

— Moi, je reviens avec plaisir. Vous savez que Richard et moi sommes voisins.

— Tu viens sur ma terrasse et on refait cela.

— Et voilà !

— OK ! Et bien nickel !

— Super !

— Ciao !

— À la prochaine !

— Salut !

À propos de l'auteur

Coach en séduction depuis 2013 j'utilise la science comme outil de développement personnel pour aider les hommes à être plus heureux dans leur vie sentimentale.

Richard

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