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Faut-il être un expert en séduction ou un généraliste ?

Par Richard

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Salut les players.

J’espère que vous allez bien et on se retrouve dans un nouveau podcast, toujours en compagnie de Chrys du site drague académie, confrère et coach en séduction actuellement à Saint-Étienne.

Il donne des coachings à Saint-Étienne et des coachings à Lyon.

Exclusivement à Lyon, pas à Saint-Étienne.

Est-ce que tu en fais à Paris aussi ?

Je peux en faire à Paris.

Pas en ce moment, mais généralement, j’en fais à Paris entre avril et le mois de septembre.

Du coup, si vous voulez un coaching avec Chrys, je vous mettrai les liens dans la description.

Si vous prenez un coaching avec lui et que vous venez de ma part, je vous offrirais la formation de votre choix.

Ceci étant dit, on commence notre petit podcast avec un sujet qu’on a trouvé il y a une minute à peine.

On ne s’est pas concerté, donc on ne sait pas du tout ce qu’on va dire.

On va broder, on va improviser.

Exactement.

On voulait partir sur le sujet : est-ce qu’il faut être vraiment très bon dans un type de drague ?

Ou alors, on va dire moyen, voire bon en général ?

Expert en drague ou généraliste ?

En fait, là tu poses justement le problème, c’est que si on se focalise sur les quatre modes de drague ou sur trois ou ne serait-ce que sur deux, on est moins bon que si on est absolument focalisé sur un seul type de drague, donc on sera moins efficace.

En revanche, on peut avoir, disons par exemple si on drague à la fois dans la rue, sur internet et en boîte de nuit, on a un vivier de femmes plus grand.

Les opportunités sont plus grandes, effectivement.

Après, est-ce que c’est aussi une perte de temps parce que finalement on va y aller.

Mais si on est moyen, tu vois proportionnellement aussi le taux de conversion, comme on en parlait hier, il va diminuer automatiquement.

Ça fait partie des inconvénients.

Moi, ce que je recommande, j’avais écrit un article là-dessus il y a longtemps, j’ai expliqué qu’il y avait que quatre modes.

Enfin en réalité, on peut même dire qu’il y en a cinq avec le speed dating.

Mais on va dire qu’il y a quatre principaux modes de rencontre.

Et le mieux, c’est de se focaliser, en tout cas dans un premier temps, sur un seul.

C’est par exemple quand on démarre un projet, il vaut mieux démarrer un seul projet plutôt que quatre à la fois.

Et éventuellement, une fois qu’on a terminé ce projet, une fois qu’on a atteint le niveau qu’on voulait atteindre, là on peut se focaliser sur un deuxième projet.

C’est exactement pareil.

C’est-à-dire que, par exemple, si vous vous intéressez au SPU, c’est-à-dire au Street PickUp, à la drague de rue, vous allez vous focaliser essentiellement dessus.

Ça ne veut pas dire que vous ne pouvez pas aller sur Tinder swiper un petit peu, etc. pourquoi pas.

Mais vous allez concentrer une grosse partie de votre temps libre consacrée à la drague, au SPU et quand vous estimez que vous avez atteint le palier maximum, c’est-à-dire que vous avez atteint un bon niveau et que vous ne pouvez peut-être plus trop progresser, ou la marge de progression est très faible là, vous concentrez sur un autre mode de rencontre qui peut être internet, qui peut être le night game, qui peut être le cercle social élargi.

Je prends en compte élargi.

Ça peut être les collègues de travail, ça peut être en soirée salsa, en club salsa, etc.

C’est assez large ce que j’entends par cercle social.

Par quel type de drague commencer ?

Par contre, moi ce que je conseillerais si on veut vraiment débuter ou devenir expert dans un type de drague, je conseillerais quand même plutôt la drague de rue au tout début.

Je trouve que c’est vraiment l’école de la séduction la drague de rue.

L’avantage de la drague de rue, c’est que vraiment ça t’anesthésie au niveau de la peur de l’approche.

Exactement, peur de l’approche, confiance en soi.

On commence aussi à apprendre à avoir la tchatche, des trucs comme ça.

Mais oui, la drague de rue, je pense que pour commencer, c’est bien.

Parce que si on commence en drague en ligne, après pour la rencontre au rendez-vous, tout de suite…

Exactement.

Moi, je vois en plus la drague virtuelle comme un mode de rencontre complémentaire.

C’est ça.

Parce que si on est trop introverti parce qu’on n’a pas l’habitude de rencontrer dans la vraie vie, on n’a pas l’habitude d’interagir dans la vraie vie, le jour du rendez-vous, on va faire face à la réalité et on ne va pas trop savoir comment s’y prendre.

Puis tous nos blocages qui nous empêchent d’aller aborder les filles dans la rue vont revenir.

Alors que si on est à l’aise pour aborder les filles dans la rue ou en boîte ou ailleurs, c’est beaucoup plus facile après de gérer le premier contact avec la fille en rendez-vous.

Je disais en fait, le SPU, la drague de rue, l’avantage, c’est qu’il n’y a pas de béquille.

On est obligé d’aller vers la fille à froid. Il n’y a pas l’alcool, il n’y a pas l’écran interposé pour protéger l’égo.

C’est instantané au niveau de la discussion.

Il n’y a pas de l’attente entre l’échange.

C’est à toi de créer le contexte. Alors, on peut faire du situationnel dans la rue, mais c’est assez compliqué.

Parfois, il vaut mieux y aller en direct ou éventuellement en indirect, mais trouver un bon prétexte.

Ça peut être même sans intérêt. Dire à la fille qu’elle est jolie, c’est un prétexte pour initier l’interaction comme un autre.

C’est à nous de créer le contexte alors que même en soirée, ce n’est pas toujours le cas.

Par exemple, on peut être au comptoir, une fille passe, elle nous bouscule un peu, on peut se servir de ça pour l’accoster ou alors avec ses amies, son groupe d’amies, etc.

Enfin, c’est beaucoup plus difficile de créer le contexte de la rencontre.

Ce n’est pas que c’est le plus difficile, mais c’est vraiment à notre charge de créer le contexte d’une rencontre dans la rue alors que ce n’est pas forcément le cas pour les autres modes de rencontres.

Peut-être à l’exception des sites de rencontre où là en effet, alors je mets Tinder et le système de matchmaking à part, mais les sites de rencontres plus traditionnels où c’est à toi de faire le premier pas.

Mais hormis ça, c’est vrai qu’il y a que la drague de rue où tu ne peux pas faire autrement que de créer le contexte toi-même.

Je voulais aussi parler de ça par rapport au choix du type de drague.

Choisir son mode de rencontres

Moi, personnellement, je sais qu’en soirée, je ne suis pas très bon parce que de base, je ne suis pas quelqu’un qui a beaucoup d’énergie.

Mais c’est surtout qu’en soirée, il y a quand même généralement dans les soirées en boîte, en bar, comme pas mal d’hommes, il y a de la concurrence.

Je ne suis pas spécialement hyper beau.

Je ne suis pas le top mannequin.

Je suis normale.

On peut même dire que tu es moche.

On peut même dire que je suis moche.

Merci Chrys.

La vérité sort de la bouche des enfants.

Exactement.

Donc du coup, je me dis : moi, je suis plus dans un game où il me faut le temps de poser mon jeu.

On en parlait.

C’est pour ça que je suis plutôt bon dans les parcs, des jardins, etc. parce que j’arrive bien à poser mon jeu.

Dans le cercle social aussi, je suis très bon.

C’est pour ça que je préfère me focaliser là-dessus que de progresser en drague de soirée.

Sachant que les soirées, j’y vais entre potes, je m’amuse et tout.

Après, je ne suis pas non plus hyper nulle, j’arrive à faire des rencontres, etc.

Mais c’est vrai que ce n’est pas mon lieu favori.

C’est un point important parce qu’en fait, il faut aussi connaître ses qualités, ses défauts et savoir quel mode de rencontre est le plus adapté à son propre tempérament et pas forcément essayer de faire du night game ou du SPU parce qu’untel ou untel conseille d’en faire.

Il y a des modes de drague dans lesquels on est naturellement plus doué que d’autres, ou alors dans lesquels on se sent plus à l’aise que d’autres.

Par exemple, moi c’est pareil, je suis plutôt de nature introvertie à la base et du coup, les soirées avec la musique à fond plein de monde, naturellement j’ai tendance plutôt à raser les murs, donc je ne suis pas à l’aise dans cet environnement.

Ça ne veut pas dire que je ne peux pas le faire et je l’ai fait par le passé avec des résultats plutôt corrects, honorables en tout cas.

Mais j’ai un tempérament qui fait que je préfère naturellement la drague de rue et j’ai de meilleurs résultats en drague de rue.

Après, je me débrouille aussi très bien sur internet et ça me convient aussi très bien. Internet, j’aime beaucoup.

Ça ne fait pas longtemps que je le fais, mais je me suis converti à la drague sur internet il y a quelques années.

Finalement, j’avais quelques aprioris négatifs et je me suis rendu compte que c’était plutôt pratique.

Mais la drague en soirée, ce n’est pas vraiment mon truc.

Du coup, je n’ai jamais poussé à fond comme toi.

Je n’ai jamais poussé à fond, je n’ai jamais cherché à progresser dans ce mode de rencontre.

Ces dernières années, les seules fois où je suis allée en soirée, c’était avec des amis.

Mais je n’irai pas tout seul comme ça.

Ça ne m’intéresse pas. Il faut aussi savoir dans quel genre de contexte on est le plus à l’aise.

Et puis, savoir aussi dans quel genre de contexte on peut prendre du plaisir.

Donc écoute, je pense qu’on a fait le tour du sujet, Chrys.

Pour résumer, on peut dire que c’est en fonction des affinités de chacun.

Ouais, du tempérament.

Du tempérament…

En tout cas, c’est mon avis qu’il vaut mieux se concentrer sur un mode de rencontre à la fois, pas sur les quatre.

Plus on se disperse, moins c’est bien bon.

D’abord devenir très bon dans le domaine où on excelle de base.

Celui qui nous intéresse le plus finalement, si c’est la rue ou autre ou internet.

Sauf commencer par internet.

C’est ce que j’allais dire c’est qu’internet, ce n’est pas forcément une bonne idée.

Déjà parce que tout le monde commence par Internet, parce que c’est le mode de rencontre le plus confortable.

Ça a son avantage parce qu’on n’est pas obligé d’apprendre à aborder les filles.

On n’est pas obligé de dépasser sa peur de l’approche.

Mais l’inconvénient, c’est que justement, au final, on peut passer un an, deux ans ou trois ans sur internet et puis on a toujours peur des filles.

Et, c’est un inconvénient.

À propos de l'auteur

Coach en séduction depuis 2013 j'utilise la science comme outil de développement personnel pour aider les hommes à être plus heureux dans leur vie sentimentale.

Richard

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